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Le blog de fulbert koffi

Libre penseur je suis journaliste de formation et entrepreneur libre. Entre le devoir d'informer j'ai le temps de partager ma passion pour l'entrepreunariat libre via les TIC.

Enquête/ Mort en cascade d’artistes Ivoiriens, enfin la vérité

Publié le 26 Mars 2009 par fulbert koffi

Depuis un certain moment le décès d’artistes est devenu monnaie courante sur les rives de la lagune Ebrié, chose qui parait bizarre. Les mauvaises langues ont vite fait de l’attribuer à un sort qui s’abattrait sur leur corporation vu que certain on noué des pactes occultes. Beaucoup s’interroge encore sur la mort d’AFFO LOVE, de JOELLE C, RUTH TONDE, de DOUK SAGA. Comment comprendre cette cascade de mort en un temps record ? En moins de cinq années la famille des artistes ivoiriens a été durement touchée par la mort. A l’heure où nous mettons sous presse cette première partie de notre enquête d’autres croupissent en ce moment sous le poids de la maladie. La récente mort de la chanteuse Béninoise AFFO Love reste encore vivace dans les esprits et les causes de sa mort un secret de polichinelle. La rumeur l’annonçait très malade à la fin de l’année dernière mais des voix très autorisés avaient vite fait de démentir et d’accuser les mauvaises langues de vouloir tuer l’artiste et pour attester de la bonne santé de Love AFFO, on a fait publier une interview exclusive à la Une d’un magazine de la place. Que voulait-on cacher puisque à la parution de l’interview elle se portait au plus mal. Qu’est ce qui se cache derrière les morts ? Ces dernières années le spectre de la mort fait rage dans le milieu du showbiz et plusieurs causes sont avancées. La plus récurrente est la « mal-vivance » des artistes et la pratique du fétichisme pour avoir le succès et la gloire. Parlant de mal-vivance ce sont toutes les pratiques sexuelles et de vie auquel ils s’adonnent pour être au devant de la scène. La rumeur Abidjanaise avait vite fait de révéler l’homosexualité de l’artiste Meiway qui finira par l’avouer plusieurs années après l’avoir démenti plusieurs fois. La plus part des artistes sous nos tropiques sont prêt à tout pour être au devant de la scène. Ils deviennent homosexuels par circonstance car tous recherche la gloire et le gain facile ; Alors ils préfèrent se faire entretenir par des gourous qui les sautent. Les cas Dj Rodrigue, Shannaka Yakuza, Lino Versace et Fally Ipupa avaient en son temps suscité la polémique. Selon nos investigations ils seraient encore nombreux ceux qui flirteraient avec le club rouge. La connexion la plus sûr pour réussir serait la filière Radio Nostalgie ou un animateur très controversé et un responsable au haut sommet de la radio ferait la pluie et le beau temps. D’autres filières existeraient pour avoir la production d’un album tout fait et avoir voiture et autres privilèges. D’autres deviennent carrément gigolo pour avoir les faveurs de femmes en manque d’affection et de chaleur au lit. On les rencontre couramment chez les Dj et certains Zouglouman s’adonnerait à cette pratique. Les artistes féminin quand à elle se livreraient à des « boss » pour avoir leur salut. Comme la tranche de jeunes filles qu’on appelle « Forces Nouvelles », elles s’attachent aux personnalités politiques ou gros bonnets des affaires pour se voir tout offrir. Elles subiraient tous supplices sexuels pour de fortes sommes d’argent et des gros contrats de prestations. Certaines vont jusqu’à ce faire pisser, déféquer dessus ou faire des partouzes. Une autre forme de prostitution des temps nouveaux qui ne dit pas son nom. J. J Baronne du groupe les Gobiz raconte qu’elles ont eu la proposition d’un de ces gourous qui voulait leur faire l’amour avec ses 3 copines et ensuite leur offrir une production discographique. Elle aurait refusé ce qui lui a valu le désaveux de ses copines qui l’on lâché pour aller avec ce dernier. Il n’a d’ailleurs pas tenu toute sa promesse car l’album est resté collection du studio d’enregistrement. A côté de la « mal-vivance » il y a le phénomène du mysticisme qui voit ces effets décimer la famille des artistes et autres Hommes d’affaires. Ils vont voir des mystiques pour les propulser et cela reste légion dans le milieu du showbiz Ivoirien. Au près de ceux-ci ils prennent des engagements et font des sacrifices de toutes sortes. A. M féticheur à Abobo route d’Alepé fait des révélations très troublantes. « Ils viennent tous chercher la gloire en me consultant et pour cela ils respectent nos prescriptions qui sont de venir avec un bébé ou sa salive et un cabri noir. On fait le travail avec le bébé car les pleures d’un bébé ne peuvent vous rendre indifférent. Imaginez-vous quand un bébé pleure dans une maison personne ne peut dire qu’il n’entend pas ; sa carrière sera à l’image des pleures du bébé donc il ne pourra passer inaperçu. » A la question de savoir de ceux qui le consultent il dit avoir la visite de beaucoup plus d’artistes femmes dont une très célèbre dans le gotha mandingue qui avec un seul titre continu depuis des années d’être au devant de la scène. Les artistes pactisent avec des féticheurs et autres oracles qui souvent en demande gros. Le cas le plus plausible serait celui du trio Joëlle C, AFFO Love et Bétika. Selon notre source elles auraient effectué le voyage de la consécration à Porto Novo ensemble. Le prêtre Vaudou qui aurait scellé le deal mystique leur a demandé de ne jamais se retrouver sur le même podium, offre qu’elles auraient acceptée. Notre source nous confie que l’auteur de Fakalo fait la cour à un responsable Béninois de la CARENA qu’elle va souvent voir pour qu’il intervienne auprès du prêtre Vaudou depuis le décès de la reine du Shokannawa. La médiation tardant elle serait allé trouver refuge à l’église Saint André de Yopougon, là bas ou elle se serait confessé (nous taisons par précaution le nom de l’abbé qui l’aurait reçu). Plusieurs cas sont cités par une source très introduite à l’UNARTCI qui avoue que les artistes terrifiés par la peur vont souvent se confier au président Gadji Celi. « Nos amis sont pressé de réussir et souvent ne font pas attention là ou ils mettent les pieds » Amédé Pierre, Bally Spinto et bien d’autres qui ont écrit les belles pages de la musique Ivoirienne sont encore là parmi nous par ce qu’ils ont accepté de gravir les échelons » C’est propos sont de Dj Consty Yôbi yôbi qui s’indigne de voir ces collègues artistes surtout de la dernière génération s’adonner à une vie de débauche ou de pactiser avec le diable pour le succès. La phrase est lancée, voilà ce qui est à la base de la mort tout azimut de nos artistes. Pédophilie, prostitution, débauche, fétichisme des maux qui minent cette grande famille artistique. Nous voulons avoir du respect pour la dépouille du Président très trop fort Douk Saga mais au risque de profaner sa mémoire s’en est allée trop vite pour l’excès de vitesse sur la vie. Le secret médical percé, le promoteur de la vie à outrance serait mort du Sida et les bulletins cliniques pourraient encore restituer la vérité. Ils restent encore longs sur la liste car de Joelle C. à AFFo Love en passant par Dr Follet, Kunta, Ruth Tondé le diagnostique reste pratiquement inchangé. Fatigue générale, anémie aigu et que sais-je encore les artistes ont intérêt à revoir leur mode de vie source de leur déchéance. Fulbert KOFFI (Source www.abidjandjafoule.com)
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